Sujet : Actions du 22 octobre 2023

Actions du 22 octobre 2023

***************************************************************

L’Est Républicain – 20 octobre 2023

***************************************************************

Sud-Ouest – 22 octobre 2023

Nucléaire : un rassemblement des opposants devant la centrale du Blayais pour « amorcer la pompe »

Par Jean-Denis Renard
Publié le 22/10/2023 à 21h17. Mis à jour le 22/10/2023 à 21h44
Dans le cadre d’une journée nationale d’actions, les antinucléaires s’étaient donné rendez-vous dimanche 22 octobre devant la centrale du Blayais, en Gironde. Une petite chambrée a protesté contre la prolongation des réacteurs les plus anciens et la perspective de voir la France s’équiper d’EPR2

Figure du mouvement antinucléaire en Gironde, cheville ouvrière de l’association Tchernoblaye, Stéphane Lhomme en convient sans barguigner : le mouvement antinucléaire est en petite forme. Témoin, la réponse modeste à l’appel à manifester qui avait été lancé pour ce dimanche 22 octobre devant la centrale nucléaire du Blayais, dont les quatre réacteurs de 900 mégawatts (MW) sont campés sur la rive droite de l’estuaire de la Gironde, dans la commune de Braud-et-Saint-Louis. Aux alentours de 11 heures, l’horaire du rendez-vous, ils n’étaient guère que deux dizaines à fouler le parking. La troupe a quelque peu grossi par la suite pour une déambulation et un pique-nique vers la digue rehaussée qui ceinture le site EDF. (suite aux abonné⋅es)

***************************************************************

France 3

« Un patrimoine indésirable pour l’éternité », les anti-nucléaires contre les deux nouveaux réacteurs de Chinon

Une cinquantaine de personnes se sont réunies devant la centrale nucléaire de Chinon. Ils protestent contre le projet de construction de deux nouveaux réacteurs EPR sur le site.

La relance du nucléaire voulue par le Président de la République, ils n’y croyaient pas. Pourtant, c’est bien contre la construction de deux nouveaux réacteurs EPR à Chinon, que les anti-nucléaire ont manifesté samedi 21 et dimanche 22 octobre.

Abandon possible du nucléaire ?

Ils étaient une cinquantaine, devant la plus vieille centrale de France, banderoles à la main, pour affirmer leur opposition, dimanche midi. Un projet « fumeux » pour Philippe Gardelle, membre du groupe local de Sortir du nucléaire Touraine.

Le groupe local de « Sortir du nucléaire » et celui du collectif « Loire Vienne Zéro nucléaire » étaient au rendez-vous. « C’est un choix politique super important, comme en Allemagne, d’abandonner le nucléaire progressivement » affirme Françoise Pouzet, présidente du collectif sortir du Nucléaire de Berry-Gienois-Puisaye.

« Une centrale nucléaire ce n’est pas du tout efficace, il y a un gâchis énorme » poursuit-elle, chiffres à l’appui : « C’est deux fois plus d’énergie qui part en chaleur, que d’énergie qui part en électricité produite« .

Une Loire déjà trop basse

Le niveau de la Loire reste au coeur de la grogne : « Il faut de l’eau pour refroidir les centrales. Apparemment il n’y a que nous qui voyons que la Loire est de plus en plus précaire« . Une raison pour laquelle, beaucoup pensent que le projet est tout bonnement irréalisable.

« Sur les quatre réacteurs, il n’y en a que trois qui fonctionnent actuellement » souligne Philippe Gardelle, notamment en raison de la faiblesse du niveau du fleuve.

Soutenir la sobriété au lieu du nucléaire

Elle préférerait voir les 52 milliards d’euros prévus pour ce projet injectés en faveur d’une réduction de la consommation énergétique en France : « Il faut de l’argent, et du monde pour soutenir la sobriété, avec l’isolation des habitations contre le froid et le chaud« .

Il nous faut de l’eau, mais il n’y en a pas. Françoise Pouzet

Au-delà de cette relance du nucléaire, c’est bien contre cette manière de créer de l’énergie que se battent les associations. « Le nucléaire, c’est dangereux » insiste l’un des participants à la manifestation.

***************************************************************

La presse de la Manche – 22 octobre 2023

Cotentin. « FukushiManche, non merci » : les antinucléaires en action locale ce dimanche

Non loin de la centrale nucléaire de Flamanville (Manche), ce 22 octobre 2023, le comité antinucléaire Crilan a répondu à l’appel national en se rassemblant près d’un rond-point.

 

Ce dimanche 22 octobre 2023, une dizaine d’antinucléaires sont rassemblés sur un rond-point aux Pieux (Manche) et demandent l’arrêt du chantier de l’EPR de Flamanville. (©Juliette VOISIN)

Par Juliette Voisin Publié le 22 Oct 23 à 13:40

« Ni nucléaire, ni effet de serre », « FukushiManche, non merci », des militants antinucléaires affichent leurs slogans sur de grandes banderoles au niveau du rond-point des Pieux (Manche) ce dimanche 22 octobre 2023.

À lire aussi

« Dénoncer l’impact de l’industrie nucléaire »

Aujourd’hui, partout en France, une vingtaine d’initiatives sont organisées localement pour répondre à l’appel de la Coordination nationale antinucléaire.

Dans le Cotentin, l’action baptisée « 80 ans de nucléaire = du poison pour l’éternité » est organisée par le Comité de réflexion, d’information et de lutte anti-nucléaire (Crilan), de 11 heures à 15 heures.

Présents sur le parking qui jouxte le rond-point à l’entrée de la commune, la dizaine d’opposants au nucléaire dénoncent « l’impact de l’industrie nucléaire sur notre territoire et nos ressources pour s’opposer à la relance de la filière avec l’EPR et les EPR2 ».

« Une expertise indépendante » pour l’EPR de Flamanville

« Nous demandons l’arrêt du chantier EPR de Flamanville pour réaliser au minimum une expertise internationale et indépendante. Nous la demandons depuis deux ans et elle a été refusée par la Cli en mai dernier. Les malfaçons sont très préoccupantes », expose André Jacques, président du Crilan.

À ses côtés, Anne-Marie Duchemin, militante depuis 25 ans, et par ailleurs présidente de Cotentin Nature, s’interroge : « Si un accident survenait, l’agriculture de notre région serait ruinée. Quelle filière laitière pouvons-nous défendre ? Il n’est pas possible de chanter la beauté du Cotentin et d’accepter de la faire disparaître. Cette expertise indépendante doit prouver que l’EPR peut fonctionner sans mettre en danger la vie d’autrui. »

Chantier en phase d’essais

Le chantier pour le réacteur EPR de Flamanville, commencé il y a seize ans, est entré dans sa phase d’essais de requalification d’ensemble le 1er octobre 2023.

Ce dimanche 22 octobre 2023, une dizaine d’antinucléaires sont rassemblés sur un rond-point aux Pieux (Manche) et demandent l’arrêt du chantier de l’EPR de Flamanville. (©Juliette VOISIN)

 

 

Le démarrage estimé à l’été 2024, et qui a douze ans de retard, pourrait être encore une fois bousculé par les résultats des dernières inspections de l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire) et de l’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) qui ont ciblé des « manques », révélés par Le Canard enchaîné.

À lire aussi

« Il existe d’autres solutions »

Autour du rond-point ce dimanche, les conversations des militants tournent aussi autour des alternatives pour continuer de produire de l’électricité. « C’est un non-sens que la France se soit mise dans cette dépendance énergétique quand il existe tant d’autres solutions », pointe Anne-Marie Duchemin.

« Tout l’argent dépensé aurait pu servir à relancer les alternatives », argumente Françoise Laouenan, membre de Sortir du nucléaire du pays de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine). « C’était important pour moi de venir dans ce coin chargé d’histoire du nucléaire pour les 80 ans du poison. »

Action politique à 15 heures

À 15 heures, LFI-Nupes, EELV et Génération.s Cotentin donnent rendez-vous devant la stèle des irradiés inconnus, en face du port de Diélette, sur la route qui mène à la centrale, pour une « commémoration et une marche pacifique ».

***************************************************************

France 3 – Auvergne Rhone – Alpes – 22 octobre 2023

Nucléaire : « pas plus de réacteurs à la centrale du Bugey », les militants dénoncent des conséquences écologiques

À l’appel de la coordination anti-nucléaire, un rassemblement a lieu ce dimanche 22 octobre dans le centre-ville de Lyon. D’autres rassemblements sont prévus dans plusieurs villes du pays ce jour. Objectif : dénoncer l’impact de l’industrie nucléaire sur le territoire et s’opposer à la relance de la filière.

Des collectifs anti-nucléaires ont appelé à se rassembler dans de nombreuses villes pour « dénoncer l’impact de l’industrie nucléaire sur le territoire » et le projet de relance de la filiale annoncé en juin par le gouvernement.

Les militants de la coordination Stop Bugey, Greenpeace Lyon et le réseau « Sortir du nucléaire » (SDN) ont répondu à cet appel. À Lyon, le rendez-vous a été fixé ce dimanche 22 octobre, à partir de 11h au niveau de la rive droite du pont Wilson, entre les 2ᵉ et 3ᵉ arrondissements. À deux pas de la préfecture.

Les anti-nucléaires ont mené une action de sensibilisation symbolique, menée au bord du Rhône, à grands renforts de pancartes et de banderoles. Ces associations protestent notamment contre la construction de deux nouveaux réacteurs à la centrale du Bugey, proche de Lyon. Elles alertent aussi sur le risque de réchauffement des eaux du Rhône par l’activité nucléaire.

Non à de nouveaux réacteurs au Bugey

« Les anti-nucléaires de Rhône-Alpes se sont regroupés à Lyon pour dénoncer et alerter la population sur le risque de deux nouveaux réacteurs nucléaires EPR au Bugey et dire à quel point ce projet est insensé. Nous ne voulons pas de ces nouveaux réacteurs. Nous sommes déjà en lutte contre les anciens réacteurs qui posent déjà des problèmes de sécurité », a déclaré, ce dimanche matin, Jean-Pierre Collet, membre du réseau « Sortir du nucléaire ».

Pour le militant, le nucléaire n’est pas une solution pour le climat. « Le nucléaire est toujours présenté comme une source d’énergie qui pourrait être une solution pour le climat. Or, il n’en est rien. Le nucléaire a besoin de beaucoup d’eau et il pollue énormément l’eau. C’est un très gros consommateur d’eau – sans eau le nucléaire ne fonctionne pas – et en plus les rejets dans le Rhône sont polluants ». 

***************************************************************

Le Dauphiné Libéré – 22 octobre 2023

Une douzaine de militants ont manifesté devant Framatome

Photo Le DL

Une douzaine de personnes a répondu ce dimanche 22 octobre à l’appel du réseau Sortons du Nucléaire pour manifester devant l’usine Framatome de Romans. Les militants écologistes anti-nucléaires protestaient notamment contre le fait que l’industrie du nucléaire polluait de manière éternelle la planète.

***************************************************************

 

***************************************************************

Reporterre – 20 octobre 2023 –

Nucléaire : les anti se mobilisent dimanche contre la relance de la filière

Les antinucléaires se mobilisent contre la relance de la filière. Dimanche 22 octobre, plus d’une vingtaine de manifestations auront lieu devant les installations nucléaires françaises, pour dénoncer « l’impact de l’industrie nucléaire sur notre territoire et nos ressources », la prolongation des installations existantes et la construction de nouveaux réacteurs.

La suite ici

***************************************************************

Le Dauphine Libéré – 21 octobre 2023 –

Des actions antinucléaires prévues ce dimanche

 

Lors d’un rassemblement d’antinucléaires devant la centrale de Cruas (Ardèche) en novembre 2019. Photo Le DL

Des associations antinucléaires se mobilisent un peu partout en France ce dimanche 22 octobre. « Depuis 80 ans, l’industrie nucléaire nous promet un avenir meilleur. 80 ans de déchets radioactifs dont personne ne sait sereinement que faire et des pollutions journalières liées à l’activité de l’ensemble de cette industrie », dénoncent-elles. Parmi la dizaine d’actions prévues, plusieurs auront lieu à 11 heures devant des sites nucléaires de l’Ardèche, la Drôme et l’Isère.

La suite ici.

***************************************************************

France 3 Centre – Val de Loire- 21 octobre 2023

Nucléaire : pourquoi les anti-nucléaires vont manifester contre les nouveaux réacteurs EPR 2 à la centrale de Chinon

Tandis que le plan de relance de la filière nucléaire annoncé par le gouvernement commence à se mettre en place, les associations et collectifs d’opposants se mobilisent et annoncent pour ce samedi 21 et dimanche 22 octobre 2023 deux journées d’actions nationales. Y compris en Touraine.

Le CNPE de Chinon, sur la commune d’Avoine, est l’une des quatre centrales nucléaires en Centre-Val de Loire.© GUILLAUME SOUVANT / AFP

***************************************************************

Sud Ouest – 17 octobre 2023

Les Antinucléaires se donnent rendez-vous dimanche :

***************************************************************

20Minutes – 19 octobre 2023 –

Tarn-et-Garonne : Les anti-nucléaires vont mener une action le 22 octobre autour de la centrale de Golfech

Des tractages seront organisés dans les communes autour de la centrale de Golfech (Tarn-et-Garonne). (illustration) — Alexandre GELEBART/20MINUTES

Un pique-nique de protestation sera notamment organisé devant la centrale

Dans le cadre de la mobilisation nationale prévue le 22 octobre prochain contre la relance de la filière nucléaire, des militants ont indiqué leur intention de lancer une action dans le secteur de la centrale de Golfech (Tarn-et-Garonne). Un pique-nique sera notamment organisé devant l’usine, a expliqué à Sud-Ouest Monique Guittenit, membre du collectif Stop Golfech.

« Nous adresserons un carton rouge à cette industrie dont l’impact en matière écologique est une catastrophe », a-t-elle précisé. Plus tôt dans la journée, les opposants distribueront des tracts dans plusieurs communes à proximité de la centrale. « L’idée est de rendre visible la lutte et contrecarrer les arguments selon lesquels le nucléaire serait la meilleure solution pour lutter contre l’urgence climatique », a commenté Monique Guittenit.

Pour les activistes de Stop Golfech, la production d’énergie nucléaire pose de nombreux problèmes majeurs, comme la gestion et le transport des déchets, la dépendance énergétique ou encore les coûts élevés payés par l’ensemble des contribuables.

 

***************************************************************

Les antinucléaires mobilisés contre la pollution de la centrale de Golfech

Catherine et Christophe Legalle, du réseau citoyen de surveillance de la radioactivité, ainsi que Monique Guittenit, de la coordination Stop Golfech, adressent un carton rouge à l’industrie nucléaire. © Crédit photo : Thierry Breton/Sud Ouest
Dans toute la France, le 22 octobre est placé sous le sceau de rassemblements s’opposant à la relance de la filière

La date avait été fixée lors du rassemblement d’été Les Résistantes 2023, sur le plateau du Larzac. Une journée dédiée à la mobilisation, partout en France, devant les installations nucléaires, avec pour mot d’ordre la dénonciation de la pollution des équipements et l’opposition à la relance de la filière, souhaitée par Emmanuel Macron. « L’idée est de rendre visible la lutte, et contrecarrer les arguments selon lesquels, le nucléaire serait la meilleure solution pour lutter contre l’urgence climatique. C’est pourquoi le mot d’ordre, cette année, est : ‘‘80 ans de nucléaire, du poison pour l’éternité’’.

[suite pour abonné⋅es]

***************************************************************

La Dépêche du Midi – 17 octobre 2023 –

Stop Golfech s’unit au mouvement national antinucléaire

Catherine Legalle, Christophe Legalle et Monique Guittelit du collectif Stop Golfech mettent un carton rouge au nucléaire. VBT.

Venance Bertrand-Trouvé

À la veille de la reconnexion au réseau du réacteur numéro 1 de la centrale nucléaire du Tarn-et-Garonne, après vingt mois d’arrêt, le collectif Stop Golfech répond à l’appel de la coordination antinucléaire nationale et annonce une journée de mobilisation dimanche 22 octobre.

« Ce n’est pas une initiative locale, c’est une initiative d’une coordination antinucléaire nationale », annonce d’emblée Monique Guittelit du collectif Stop Golfech. Après plusieurs années de divisions, les différentes associations antinucléaires de France se sont réunies au sein d’une coordination, le 6 août dernier dans le Larzac. « Ça a relancé et ressoudé l’antinucléaire français », explique Christophe Legalle du réseau citoyen de surveillance de la radioactivité Golfech Le Blayais (RCSRGB).

À cette occasion, la date du 22 octobre a été retenue pour organiser dans tout le pays des actions dénonçant « l’impact de l’industrie nucléaire sur notre territoire et nos ressources » et s’opposant « à la relance de la filière », indique le communiqué national transmis par Stop Golfech. « Il y aura d’autres dates en 2024 », prévient Monique Guittelit.

Répondant à l’appel national, Stop Golfech appelle les militants et sympathisant antinucléaires à se joindre à eux dimanche 22 octobre à 10h près de l’église de Valence d’Agen. Quatre jours après la reconnexion du réacteur numéro 1 de la centrale, le collectif antinucléaire se dispersera dans les villes et villages qui l’entourent pour tracter et inscrire leurs messages sur les murs à l’aide de pochoirs. « Nos cartons ont été retirés alors on va partir sur de la peinture », explique avec un sourire Monique Guittelit. Tous se retrouveront à midi pour un pique-nique tiré du sac devant la centrale, armée de cartons rouges.

Un remède miracle pas si miraculeux

Au cœur du projet de transition énergétique d’Emmanuel Macron, le nucléaire est souvent présenté comme la solution pour lutter contre le dérèglement climatique et permettre à la France d’être indépendante énergétiquement.

Seulement pour le collectif Stop Golfech, ses raisons ne sont pas valables.

Certes, le nucléaire est le mode de production d’électricité qui rejette le moins de CO2 lors de la production. Mais « si on prend en compte toute la filière, ils sont en dessous du renouvelable », précise Christophe Legalle.

À la production s’ajoutent notamment les transports de combustibles et de déchets nucléaires. Pour ce qui est de l’indépendance, le collectif est direct. « On importe de l’uranium ». Si le Niger était le principal fournisseur français, sa place aurait été prise par le Kazakstan selon Christophe Legalle. Le pays représentait déjà 30% des importations françaises en 2022.

Pour Stop Golfech, il faut parier sur les énergies renouvelables qui peuvent remplacer le nucléaire, si on leur donnait les mêmes moyens financiers.

Surtout, le collectif appelle à plus de sobriété pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique. Si le mot peut faire peur et être mal vu, c’est une évidence pour Monique Guittelit. Pour la militante, la sobriété, c’est avant tout « poser des actes pour permettre aux jeunes de croire en l’avenir ».